La raison de la santé mis en avant face au topless en baisse en France

L’une des raisons, si ce n’est la principale si on se fie aux propos recueillis auprès de quelques françaises, serait celle de la peur du cancer. En effet fort est de constater une fois sur une plage que les femmes ont cessé de prendre des bains de soleil topless en France, et cela n’aurait rien à voir avec les crises de santé (pour d’autres femmes). Autant dire que les raisons diverges et on ne saurait prêcher le vrai du faux. Pour en savoir plus sur le sujet cliquez sur http://www.letribunaldunet.fr/societe/les-francaises-osent-de-moins-en-moins-le-topless-voici-pourquoi.html.

Mais selon le magazine Elle, il y a trois raisons qui poussent aujourd’hui les femmes à laisser tomber le topless. Tout d’abord :

  • Une préoccupation accrue pour la santé et les dangers du cancer de la peau ;
  • La perception « pornifiée » des femmes seins nus (en effet, Elle suggère la mort des monokini c’est-à-dire les slips de bain qui était liée à l’idée que les femmes seins nus sont considérées comme « libres ») ;
  • La montée des activistes affiliés au sein, principalement Femen qui utilisent leur sein nu comme un moyen de sensibiliser les femmes à diverses causes et « Free the Nipple », une récente campagne qui encourage les femmes à se mettre topless pour en finir avec les stigmatisations entourant les corps des femmes.

Le topless

Dans les années antérieures, les femmes avaient pour habitude de se relaxer et se détendre à travers cette pratique, sans subir aucune forme de pression vis à vis de la société. Depuis que Brigitte Bardot a pris son envol sur la Côte d’Azur dans les années 60, la corrélation entre les bains de soleil topless et la libération des femmes est ancrée dans la culture française comme un signe d’égalité réelle. Beaucoup d’autres ont emboîté le pas et la poitrine et la plage ont été reconquises. Le fait que si peu de femmes n’ont plus de seins nus (seulement 2 % des femmes de moins de 35 ans l’ont dit) semble extraordinaire et déprimant.